Voilà...


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Mac OS X, Mac OS 8-9 (Classic), Windows 98/NT/2000/XP, Linux /x86 ainsi que le projet et le code source.

Dernière mise à jour 14 Juin 2006

Le projet est compilable avec une démo gratuite de 15 jours.



Les hypothèses retenues pour les simulations sont les suivantes:

 

Le mouvement brownien:


Des molécules d'un gaz ou d'un liquide errant au hasard, rencontrent une poussière sur laquelle elles rebondissent, y perdant un peu d'énergie qu'elle récupèrent en s'entrechoquant entre elles. Ces molécules ayant une masse, la poussière se déplace sous l'effet des impacts. La simulation informatique reproduit dans sa forme ce comportement réel. Ce même fonctionnement aléatoire est ensuite appliqué à des particules sans masse se déplaçant dans le vide, permettant la visualisation des trajectoires et les rencontres qui en résultent.

Par impulsions successives sur les molécules d'un gaz, on provoque un front d'ondes sonores qui se déplace d'une façon continue.Si toutes les molécules sont animées au départ de la même vitesse, le mouvement aléatoire s'ordonne, et le train d'onde avance au fur et à mesure en intégrant les molécules venant se jetter dans la vague et en chassant le même nombre. Les vagues avancent en renouvelant au fur et à mesure les passagers qui leur ont donné forme. Il y a bien transport d'énergie et d'information d'un endroit vers un autre.


Les particules virtuelles bien réelles:


La collision suivant un axe quelconque de particules animées de vitesses identiques ne modifie pas l'orientation générale des trajectoires initiales . Seul le changement de couleur permet de constater l'événement.

  • Les trajectoires des particules virtuelles sont symbolisées par les flèches colorées.
  • L'expérience de Casimir suppose leur existence.
  • Il n'y a pas d'existence sans rencontre dans un espace unique.
  • La rencontre est symbolisée par le rond vert.

Le cas particulier où les particules se rencontrent en face à face, les trajectoires initiales des deux particules se confondent.

Référentiel absolu:




La vitesse de la lumière est constante, quelle que soit l'expérience et quel que soit l'expérimentateur. C'est un fait expérimental qui fait partie de la connaisssance exacte du réel.

Elle est indépendante de la vitesse de l'observateur et de la vitesse du support servant à la mesurer à l'aide d'une expérience faisant appel à un trajet aller-retour d'un faisceau lumineux renvoyé à environ mi-chemin de son parcours par un miroir.

Mesurer exactement la vitesse de la lumière venant du soleil supposerait une synchonisation d'une horloge située à la surface du soleil et une autre à la surface de la terre. C'est une expérience impossible à mener.

Einstein et Plank ont retenu le caractère quantique de la lumière. Elle est constitué de petites quantité d'énergie sans masse aucune.



Cette énergie absorbée par une cellule photo-électrique peut produire un courant électrique. Cette énergie existe donc, c'est un fait expérimental.

Dans le vide se déplacent des particules appelées pour l'instant "vituelles", car indétectables directement. L'expérience de Casimir nous fait supposer leur existence.

 

Pour relier ces divers faits expériementaux, l'hypothèse suivante est développée:



Des particules "virtuelles" se déplacent à la vitesse c dans le vide. Sans masse et sans charge électrique elles n'interragissent pas avec la matière.

Elles peuvent se charger en énergie au contact proche de la matière et entre elles, et se décharger de l'énergie qu'elles transportent de la même manière.



Elles peuvent rencontrer sur leur cheminement d'autres particules virtuelles dans le vide ou dans la matière.

Quand deux particules vituelles se croisent, ne pouvant occuper exactement le même emplacement, elles rebondissent l'une contre l'autre après un échange croisé de leur charge énergétique.

A partir de ces éléments, nous pouvons imaginer en 2D ce qui se trame en 3D, et obtenir la simulation ci-dessous, en prenant des particules ideentiques susceptibles d'être chargées, leur rencontre détermine la combinatoire suivante:


Des particules se déplace au hasard toutes à la même vitesse "c". Quand elles se rencontrent, les charges énergétiques s'échangent, ce qui se traduit à l'écran par un changement de couleur.

Pour celles qui ne sont pas chargées, elles restent de la même couleur.



La rencontre d'une particule chargée avec une qui ne l'est pas fait apparaître le photon le temps de la transaction.



Pour deux particules chargées, on voit l'échange des deux photons.

En cochant le CheckBoxCarte, chaque fois qu'il y a échange de photon, une marque apparait sur le fond noir. La carte des interactions sur un temps donné de particules virtuelles s'échangeant des quantum d'énergie au gré de leurs rencontres hasardeuses se dessine peu à peu

Le particules qui se heurtent franchement laissent de leur rencontre un seul petit point. Les particules qui suivent des voies presques parallèles s'échangent sur une certaine longueur dans un jeu de ping-pong leur charge, il s'en suit une succession de ponts alignés.

Une cartographie du travail du jeu des particules virtuelles.

Les espaces sont différement remplis. Le hasard corrélé à une règle précise ne crée pas d'homogénéïté. Ce chaos semble structuré par des lignes directrices comme des filaments ou comme des facettes d'un bout de papier chiffonné. En volume, l'image poourrait évoquer une éponge à grosse cellules.


Les parcours presque parallèles initient la singularité constatée.

Le référentiel absolu se réfère à un lieu où les particules virtuelles se déplacent à la vitesse c dans tous les cadres offerts au regard de l'observateur immobile.



Le cadre qui permet d'observer peut être en translation dans un plan, la vitesse c reste inchangée car elle n'est pas liée au cadre. Le cadre n'est qu'une fenêtre qui permet notre vision.



Le réel ne change pas quand on change de cadre ou quand on le déplace de n'importe quelle façon, seule la perception est modifiée.




Trajets des particules virtuelles:




A partir le l'hypothèse de base de transfert d'énergie lors de la rencontre des particules virtuelles, un simple échange du niveau énergétique transporté et d'un rebond des particules entre elles combine une succession de rencontre pour visualiser la trajectoire d'une charge donnée.
 

Dans ce cas particulier où la rencontre est frontale, la charge située sur la particule dont le trajet est représenté par un trait rouge passe lors de la rencontre sur la particule effectuant un trajet de va et viens sur le cheminement en bleu. La charge passe donc d'une particule à l'autre et continue son cheminement sur la même direction. C'est toujours le même mécanisme qui est à l'oeuvre, les particules revenant sur leur chemin, la charge continuant dans le même sens.

En combinant plusieurs rencontres, on voit que la charge voyage de particule à particule, toujours dans un même sens.

La direction de la première particule virtuelle recueillant la charge impose le direction du voyage de cette dernière, quelles que soient les trajectoires des particules secondaires. La rencontre impose à la nouvelle particule croisée de se mettre au service de la charge et de la transporter grâcieusement dans une direction donnée.

La vitesse des particules est constante et égale à "c".

  • Les vitesses relatives des particules les unes par rapport aux autres sera donc fonction de l'angle formé par les droites formant leur cheminement.
  • Sur le même axe et dans la même direction, les particules naviguent de concert, leur vitesse de rapprochement relative est nulle.
  • Avec un angle de 90 degrés, la vitesse de rapprochement relative sera de c
  • En choc frontal, la vitesse de rapprochement relative sera de 2*c

    Vitesse de rapprochement des particules selon l'angle qu'elles forment en degrés:

En provoquant des impulsions, des vagues de particules déferlent...



Mesure de la vitesse de la lumière:


Une certaine quantité d'énergie est émise à partir de la matière, et de particule virtuelle en particule virtuelle arrive face à un miroir. Cette énergie est captée par le miroir. Immédiatement une quantité du même ordre est réémise dans la même direction ou elle est captée à nouveau.La vitesse c étant constante, le trajet aller a duré le même temps que le trajet retour.

Si le cadre ne s'est pas déplacé pendant le temps que l'on mesure la vitesse de déplacement de la lumière, le point d'émission, le point de réflexion et le point de réception sont restés stables.

Connaissant la distance et la durée du voyage, on peut déterminer la vitesse de déplacement c par la formule:

Une représentation simplifié gomme le passage de particule virtuelle en particule virtuelle.

Mesure de c à partir de deux miroirs tournant permettant de diminuer la vitesse de rotation de l'ensemble solidarisé par un axe moteur. Un rayon laser passe par un trou percé en biais dans le plateau gauche, effectue un certain nombre de réflexions avant de sortir par un second trou situé sur le plateau droit.



L'ensemble est monté dans une enceinte vide en libre rotation sur un bain de mercure. Une fois la vitesse de rotation stabilisée donnant la vitesse du rayon laser, on vérifie que la mesure reste stable en modifiant l'orientation de l'enceinte.

Deux rayons lumineux paralèles vont à la même vitesse c quel que soit le cadre et la vitesse du cadre. Il ne peut donc pas se créer d'interférences.

  • Les particules virtuelles se déplacent en assurant le transfert de l'énergie dans le vide, réagissant entre elles et traversent la matière en se chargeant et déchargeant au passage.
  • Les molécules libres rebondissent également les unes contre les autres.
  • La particule brownienne erre sous la poussée thermo-dynamique des molécule qui la percutent.

Gravitation:



Deux particules de matière sont immergées dans un flot de particules virtuelles supposées être des gravitons.

Les gravitons lors d'une première rencontre avec la matière lui communiquent une quantité d'énergie cinétique qu'ils récupèrent au choc suivant.

La matière avance ou recule lors de chaque impact.

Quand deux gravitons se rencontrent dans le vide, ils échangent leur statut respectif et rebondissent l'un contre l'autre comme toutes les particules virtuelles


Des événements semblables avec des paramètres identiques produisent des résultats variables indépendament de la qualité de la mesure dès que le hasard entre en jeu. Les conditions initiales, même si elles sont identiques, du fait du comportement aléatoire des particules virtuelles produisent des résultats différents. Aucune trajectoire ne ressemble à une autre. Chaque événement a sa propre histoire, qui échappe à tout déterminisme connaissable, même si l'on peut fixer une enveloppe aux différents trajets possibles. Ce n'est qu'en multipliant les mesures dans une zone de stabilité que l'on peut déterminer une moyenne. Si elle est exprimable sous une forme mathématique, cela ne constitue pas une loi à laquelle le monde réel obéït. Ce n'est qu'une représentation, une image, qui permet à l'esprit humain d'avoir une vision du monde réel et de pouvoir la communiquer à autrui.

Diffraction:


Un ensemble de particules arrivent en vague face à une ouverture. Elles rebondissent sur les bords et continuent leur mouvement en se dispersant en vague arrondie étalée.

Conclusion:

Il est impossible de stimuler le résultat de l'expérience des fentes de Young en utilisant deux fentes. Il y a bien deux panaches qui se croisent, mais au final les deux gerbes se répartissent sans qu'une inter-action résulte de leur croisement. C'est donc sur d'autres bases intégrant la possibilité d'un phénomène vibratoire qu'il faut repartir. On ne peut pas représenter le photon à l'aide d'une particule occupant un certain volume. Il convient donc d'imaginer ce que peut être un mouvement ondulatoire, quel support il peut avoir dans le vide, et c'est l'objet de la recherche sur la « structure gélifiée du vide, de l'espace, de l'Univers » qui constitue un projet de recherche qui ne semble pas finir en impasse. Un labyrinthe est connu quand on a exploré toutes les possibilités et que l'on a trouvé la porte de sortie.

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