Les
trous noirs ont cette capacité à absorber toute
propagation énergétique passant leur horizon. Il y a donc
convergence par déformation de la structure
gélifiée vers le trou noir. La densité de
matière énorme qui déforme la structure suite
à l'effondrement sur elle-même de la matière finit
par mettre à plat la structure triédrique
gélifiée, et ainsi ne permettre que la propagation des
ondes électromagnétiques venant de l'extérieur du
trou noir que vers l'intérieur. Cette accumulation
d'énergie chauffe la matière du trou noir, et fait
osciller l'ensemble de la gelée prise en à
l'intérieur du trou noir. En gonflant par augmentation de
température, la matière déborde du cadre de
l'horizon du trou noir et rayonne alors vers l'extérieur sur la
gelée hypertendue. Un rayonnement uniforme est alors
émis, et on peut considérer le trou noir comme un
transformateur d'ondes. Il absorbe toutes les fréquences qui
passe à sa proximité, et ré-émet une
ondulation qui est directement fonction de sa température
interne. Ce modèle simple de représentation du trou noir
permet de fixer ce que les modèles théoriques proposent
actuellement. Le risque étant d'imaginer les trous noirs comme
des puits sans fond, capables de digérer l'univers tout entier.
Ils ne constituent en fait que des singularités permettant la
circulation permanente de l'énergie dans l'univers en
exerçant sa régulation. Après l'angoisse de se
retrouver avec le ciel nous tombant sous la tête, il fallait
évacuer celle de l'ogre, le méchant trou noir venant nous
rendre visite pour nous engloutir.
A
la surface du trou noir, cette représentation en deux dimension
montre la compression des dimensions des tubes gellifères
symbolisés par les arêtes des tétraèdres. Il
y a un tassement des sommets de tétraèdres au fur et
à mesure que l'on se rapproche du trou noir. La structure
gelifère de l'espace étant déjà une
représentation, pour représenter un concept particulier
on peut changer de modèle de représentation. Cette
surface n'est donc pas la projection de la structure sur un plan
correspondant à la surface du trou noir. Ce n'est qu'une
illustration pour indiquer la déformation que subit les
éléments de base sur un axe spécifique.
De
plus en plus proche, la hauteur des tétraèdres a encore
diminuée. La structure de l'espace gelifère se
déforme plus en plus.
La
gravité est tellement forte qu'elle a aplatit
complètement le tétraèdre. La dimension verticale
est égale à zéro. Une vibration arrivant sur cette
surface entourant le trou noir est piégée et ne peut que
chauffer la matière du trou noir. Seules des fluctuations
permettent à l'énergie stockée à
l'intérieur du trou noir peut permettre l'évaporation de
cette dernière à l'extérieur du trou noir. On
retrouve paradoxalement en dessin la structure hexagonale des
systèmes chaotiques. Toute forme de raisonnement est analogique,
on essaie de retrouver des invariants simples dans des nouveaux
domaines pour explorer ces derniers à partir de concepts et de
vocabulaire déjà utilisé. Le but est de
réduire la complexité à un point singulier, et ce
dernier une fois définis et clairement identifié,
re-dérouler en sens inverse les liens qui unissent la carte au
territoire, afin d'en obtenir une visualisation qui soit parlante, et
qui permette la communication, l'échange et la transmission
d'une personne à une autre.
Il
y a donc applatissement de la structure, tassement de cette
dernière ce qui piège toute énergie dans un
maillage comprimé. Au gré des fluctuations un peu
d'énergie s'échappe d'une façon diffuse, le trou
noir a engloutit tout ce qui passait à sa proximité, la
matière par gravité et l'énergie pure par
déformation de la structure gélifiée de l'espace.
Cette
représentation imagée suggère de ce que
l'existence du trou noir peut-être. Le rouge est employé
pour indiquer le concentré énergétique en un lieu
de l'espace occupé par cette singularité lié
à l'effondrement gravitationnel de la matière sur
elle-même.