Le
magnétisme supposait un couplage entre des électrons liés et tournants
dans le même sens et la structure gélifiée rentrant en résonnance avec
ce mouvement des électrons.
Mais pour la matière ordinaire, ou
les électrons suivent des trajectoires variables, s'il n'y a pas un
mouvement d'ensemble qui se dégage, il y a bien un couplage qui traduit
la spécificité du produit, et la signature qu'il produit sur la
structure gélifiée. Sans structure pour faire cadre à la matière, cette
dernière perdant toute référence ne pourrait tout bonnement pas
exister.
Il y a donc une corrélation absolue entre la
résonance vibratoire à la matière de la structure gélifiée, qui lui
sert de support, et la matière elle-même. Si un aimant force les
éléments de base à tourner de façon spécifique en résonnance, pour la
matière amagnétique, ce couplage existe toujours, car il ne dépend que
des électrons, mais il n'est plus ordonné dans un ordre axé. Tout
dépend de la façon dont tournent les électrons.
Chaque élément
de matière organisera donc spécifiquement le champ vibratoire de la
structure gélifiée qui le pénètre et qui l'entoure. Nous pouvons alors
envisager ce qu'un mélange de différents produits permet de produire,
une signature nouvelle, résultat des additions vibratoires des
différents produits, produisant la synergie, forme nouvelle d'une
signature. Cette nouvelle signature, constituant autant une information
qu'une énergie, est à même d'interagir avec d'autres éléments.
Nous
pouvons alors poser que le principe homéopathique, qui consiste à
diluer sans cesse ce mélange, conserve une trace de cette signature de
plus en plus faible sur la structure gélifiée, et que c'est cette
information qui inter-agira avec l'organisme du patient.
D'un
point de vue strictement quantitatif, la dilution fait perdre toute
trace du produit actif, mais conserve la signature vibratoire atténuée,
chaque dilution ne faisant qu'affaiblir le signal initial en le
divisant sans cesse, sans jamais totalement effacer sa trace. On
retombe bien alors sur le principe de base de la pharmacopée médicale,
tout dépend de la dose, mais derrière la dose, tout dépend du produit,
et au final de son identité.
La matière ne peut exister que dans le cadre qui l'abrite, c'est une
tautologie absolue.
La
matière n'acquiert son identité que dans la transaction qu'elle
effectue avec son cadre. On peut alors, sans avoir à prendre partie
dans la polémique entourant l'homéopathie se basant sur la mémoire de
l'eau, qui constitue donc par rapport à la structure gélifiée de
l'espace une fausse explication, trouver un lien causal logique entre
les résultats obtenus par cette thérapeutique autre que placebo, et la
Cosmologie que permet l'hypothèse de la structure gélifiée de l'espace,
mythologie scientifique de la Création.