Dans un cube on peut caser cinq tétraèdres, cela permet de passer à un remplissage complet de l'espace et conserver une métrique en trois dimension, car en empilant des cubes on remplis l'espace sans laisser aucun vide. Pour remplir le cube un tétraèdre orthocentrique et quatre tétraèdres partageant la base avec le tétraèdre central et formés de trois autres triangles rectangles équilatéraux suffisent.



Ces tétraèdres sont eux-même peuvent être formés d'autres tétraèdres plus petits. A partir d'un point commun à deux tétraèdres sur la bas triangulaire, on peut joindre par deux segments de droite les deux sommet respectifs, créant ainsi trois fois deux soit six tétraèdres. Peu importe leur forme, puisque l'on suppose que les arêtes qui les composent peuvent être formés de substance élastique encaissant aussi bien élongation que compression. Nous ne pouvons pas remplir le cube avec uniquement des tétraèdres orthocentriques, ceux qui sont régulier et possèdent des arêtes et des angles identiques, nous devons compléter avec une forme moins régulière dégradée en quelque sorte. Le point important est de noter que l'on peut remplir l'espace avec un certain nombre de tétraèdres, et que pour arriver à le faire, la métrique de l'ensemble sera finie, et que si on fait varier une longueur ou un angle quelconque, cela se répercutera sur l'ensemble des tétraèdres, donc de la structure gélifiée.



La géométrie de la structure gélifiée, fait que bouger un seul point a des répercutions sur l'ensemble de la structure. En un mot la structure ne fait qu'un bloc qui donne l'apparence de vivre, faire bouger une des ses partie se répercute et actionne l'ensemble des parties. La structure est en inter-action permanente. Étant déformée par la gravité, le trajet des vibrations est modifié, donc le parcours des ondes électro-magnétiques varie de même. En évolution permanente avec le temps, la structure se déforme en permanence pour s'adapter aux contraintes qu'elle subit.


 
Prenons une portion d'espace suffisamment grande pour contenir quelques galaxies et quelques trous noirs centrés au milieu d'un parallélépipède rectangle donné.

Les dimensions de la boîte externe étant fixées selon notre choix, la taille de l'emballage soit la boîte qui contient le vide puis au centre la matière est parfaitement définie par trois nombres ayant comme unité des années lumières. La structure de l'espace n'étant contrainte par la matière qu'en son centre où elle est concentrée. Sur sa partie externe, loin de la matière sa contrainte est minimale et homogène. Les ondes électromagnétiques se propagent alors en front d'onde régulier sphérique. Il est alors légitime d'utiliser comme unité de mesure l'année-lumière, soit la distance parcourue par une vibration dans la structure gélifiée de l'espace du point où elle est produite jusqu'au point où elle est captée.

La difficulté commence quand on veut utiliser le même genre d'unité pour mesurer un système qui n'est pas homogène quant à la propagation de l'onde électromagnétique. La structure étant contrainte par la matière, le front d'onde ne se déplace plus régulièrement. Aux abords d'une grosse masse de matière, le maillage de la structure s'aplatit et le parcours du front d'onde s'incurve du simple fait de la déformation du maillage.

La trajectoire du front d'onde s'en trouve allongée, et le signal met alors plus de temps à traverser le parallélépipède rectangle donné puisque parcourant une plus grande distance. Si la représentation de l'espace par le recours à la structure gélifiée est valide, on doit pouvoir retrouver tous les résultats de la relativité restreinte chère à Einstein, non pas en faisant l'hypothèse de temps variables selon les lieux, mais uniquement sur des temps et trajets de parcours plus longs liés à la déformation de la structure gélifiée due à la présence de la matière interférant avec elle. Il convient alors d'adopter un temps absolu valable pour tout l'univers à chaque instant donné, la vitesse des vibrations dans la structure gélifiée étant le second paramètre à considérer, la géométrie exacte de la structure gélifiée servant de support à la propagation des vibrations étant responsable de toutes les bizarreries observées expérimentalement.

Les repères inertiels ne sont identiques, car les cadres qui les contiennent sont dépendants de la tension exercée par la matière sur la portion de structure gélifiée qui les compose.