La matière déforme la structure gélifié en augmentant la tension dans la structure. Il y a transfert d'énergie de la matière à la structure qui modifie ainsi l'espace occupé. On peut visualiser le champ gravitationnel autour d'un objet comme un halo de déformation local de la structure. La gravité résulte donc de l'action de la matière sur la structure gélifiée de l'Univers. Une tension élastique comprime la structure , et cet effet se répercute dans toute la structure de proche en proche, de tétraèdre de base en tétraèdre. Si on considère un tétraèdre particulier, son centre vide peut-être occupé par de la matière à un moment donné. Cet atome de matière gonflera le tétraèdre, éloignant légèrement les quatre sommets du tétraèdre dilatant ses cotés. Mais cette augmentation de longueur va mettre en compression les cotés des autres tétraèdres liés aux quatre sommets du premier tétraèdre contenant le grain de matière, et ainsi d'un tétraèdre à l'autre la tension se répartit dans l'ensemble de la structure, car toute la structure est liée et un point de la structure qui se déplace influence l'ensemble de la structure. Comme la structure est une construction en trois dimensions, la propagation de la tension et sa répartition peut se visualiser comme une orange en forme de sphère qui grossit et dont la peau devient de plus en plus mince au fur et à mesure du déplacement de la tension se déplaçant à la vitesse de la lumière , cette dernière est par définition la constante liée à la rigidité de la structure. La tension se répartit dans le volume et devient de plus en plus faible au fur et à mesure que l'on s'éloigne du point qui l'a produite. Le lien gravitationnel entre la matière et la structure est ainsi établi par simple occupation de l'espace. Le raisonnement tient également si le grain de matière agit en comprimant le tétraèdrequi la contient, la structure gélifié encaisse de la même façon une contrainte supplémentaire, mais dans ce cas il faut faire appel à une attirance entre la la structure et la matière. Il est plus simple de rester sur la notion de volume, une éponge qui absorbe de l'eau gonfle, et cette image est suffisamment parlante pour faire la transposition entre la structure gélifiée gonflée par la matière qu'elle emprisonne délicatement.

Le volume est d'ordre trois, la surface est d'ordre deux. Si les tension se répartissent uniformément de tétraèdre en tétraèdre, elle diminuent alors en intensité en fonction inverse du carré selon la distance.



Considérons maintenant deux corps. Chacun dispose de son propre champs gravitationnel, qui est la traduction de la tension supplémentaire encaissée dans le volume de la structure. Au centre de ces objets, la tension imposée sur la structure sera maximale, car ce sera l'endroit ou la matière introduite dans le tétraèdre centrale le dilatera d'une part, mais subira le plus gros effort de contrainte du aux déformations imposées par la matière environnante dans les autre tétraèdres proches. La structure étant élastique sans frottement, les tensions se répartissent le plus harmonieusement mais tel un arc bandé ne demandent qu'à se manifester. A la surface d'un objet, on aura donc une contrainte proche de celle qui est dans la matière. Il faut noter une singularité, si dans une mine, un mineur laisse tomber un outil ou une pierre, la gravité le fera chuter pareillement qu'à la surface de la terre. Par contre au centre de la terre, un objet ne peut plus tomber alors quela structure est sous tension maximale. La gravité devient nulle, mais la tension est maximale. Encore une fois c'est une vision des choses, il est inconcevable d'aller dans le réel voir ce qu'il en est et mesurer sur place ce qui se passe au centre de la terre si on laisse tomber un objet quelconque. Mais on peut parfaitement se représenter la chose et c'est ce qui nous importe le plus. Disposer d'une vision qui soit parlante et qui nous permette de comprendre l'organisation du monde physique.

Quand on considère deux objet et que l'on essaie de visualiser ce qu'il en est de leur action sur la structure, on doit visualiser l'interaction de leur champ gravitationnel et donc comment la structure gélifiée gère les contraintes que ces deux objets lui imposent. Chacun localement la déforme, et donc rajoutent une contrainte supplémentaire donc l'énergie élastique stockée dans la structure croit selon la masse des objets. Il faut également noter une singularité, entre les deux objets il y aura un point ou la gravité sera nulle, mais ou les contraintes ajoutés par l'une comme par l'autre objet atteindront une valeur maximale par rapport à la distance considérée. Il faut alors bien faire la différence entre le concept de champ gravitationnel qui est la matrice vectorielle mesurée à chaque point de l'espace considéré et la structure gélifiée de l'espace qui est un concept pour le moment virtuel.



Pour des raisons de commodité, on prends deux objets identiques, cela simplifie la représentation que l'on peut ensuite complexifier en prenant des objets disparates et multiples sans que le raisonnement de base change. En rouge nous avons deux vecteurs sensés représenter la gravité. Pour déterminer la gravité en un point, on réalise une addition vectorielle, c'est à dire que l'on dessine le parallélogramme des forces et l'on prend sa diagonale comme résultante ce qui correspond à la flèche bleue centrale. Si nous tentons de connaître la gravité juste au point situé entre les deux corps aligné sur la droite qui relie leur deux centre de gravité, l'addition vectorielle donnera un vecteur nul. Pourtant dans notre représentation gelifère ce point subira les tension dues aux deux corps et sera maximum pour tout le plan les séparant. La tension et par extension l'énergie stockée par la structure gélifiée en un point peut alors être représenté par l'addition mathématique de la valeur absolue de chaque vecteur. Que la structure soit comprimé ou tendue par des contraintes, elle emmagasine une énergie comme dans un ressort, qui ne demande qu'à se manifester dès que c'est possible. Un ressort une fois bandé fait tourner une horloge, il suffit que les aiguilles soit libres de se mouvoir. L'inertie ne s'oppose pas au déplacement des objets. Elle se contente d'absorber une certaine quantité d'énergie fonction de la vitesse que l'on désire atteindre. La force d'attraction entre deux objets est inverse au carré de la distance de leur centre de gravité. Plus les objets se rapprochent, plus la force croit, et plus l'accélération croit également. Les objets se rapprochent de plus en plus vite. Mais ce faisant, la contrainte stockée dans la structure gélifiée diminue, car l'énergie doit bien provenir de quelque part. La gravité est toujours positive, car elle correspond à une contrainte que l'on fait subir à la structure, et cette dernière tente par tous les moyens de revenir à son état d'équilibre initial. Cette contrainte joue en comprimant ou en tendant les tubes gelifères liant les différents points des tétraèdres formant la structure gélifiée. En déplaçant les objet dans l'espace la structure réduit les tensions qui l'assaillent et la quantité d'énergie que  la matière lui fait emmagasiner. La gravité permet de dé-stresser la structure gélifiée pour le dire autrement et faire le lien entre gravité, structure et énergie.



Le paradoxe apparent qui nous impose de passer de la notion de gravité à celle de tension est illustré par l'addition vectorielle sur la droite liant les deux centres de gravité. Avec une gravité nulle, la tension est maximale au point vert central. Il faut donc étudier comment les contraintes se répartissent dans la structure. Pareilles aux vibrations, les contraintes passent de points figurant les sommets de tétraèdres en points. Si un point de la structure est déplacé par rapport à la structure, il génère une contrainte qui se répercute sur l'ensemble de la structure en prenant la forme d'une sphère. C'est illustré avec le nuage de points bleus qui représentent alors le niveau de contrainte dans la structure ou au choix les vecteurs du champ gravitationnel. Il y a une décroissance en fonction inverse du carré de la distance de la gravité, et de même, plus on s'éloigne du corps plus la contrainte se répartit en volume dans un nombre plus important de tétraèdres. Pour voir ce qui se passe entre les deux corps et comment représenter et visualiser l'attirance que subit et fait subir la matière, il convient de représenter finement la zone séparant les deux corps. On trace les cône partant du centre de gravité des objet et incluant l'objet situé en face du premier. L'énergie mouvant les deux objet ne peut venir que de cet espace.



Une première constatation s'impose, la contrainte due au déplacement du point central de gravité par la matière se répercute uniformément dans chaque portion de sphère à une distance donnée. Quand on considère une tranche coupant les deux cônes sur la droite reliant les centres de gravité on constate que la somme des contraintes de cette tranche est constante. Il est donc possible de représenter ce résultat par le cylindre bleu situé entre les deux centres de gravité et ayant comme diamètre celui des sphères. Quand les objets se rapprochent sous l'effet des contraintes de la structure jouant sur la matière, le diamètre du cylindre ne change pas. La quantité d'énergie absorbée est liée à la distance de déplacement.



Pendant le déplacement, le diamètre du cylindre bleu ne varie pas, mais par contre les deux objets en allant l'un vers l'autre ont ouvert l'angle des cônes sans modifier la quantité d'énergie contenue par unité de volume. La portion de structure qui a fournie l'énergie nécessaire au déplacement correspond aux deux cylindre violets. Mais en fait la structure gelifère traverse la matière, et les contraintes se superposent à celles induites par chaque objet, ce qui fait que le cône n'est pas limité à l'objet qu'il joint. Chaque objet stresse l'ensemble de la structure, la force de gravité s'exerce sur de grandes distances.



Le cylindre bleu est la seule partie qui se modifie  du cadre dans lequel se rapprochent les deux objets. Le reste de leur halo reste invariable au cours du déplacement, donc seule doit être prise en compte la variation de volume correspondant aux deux cylindres violets. L'énergie récupérée sur la structure est proportionnelle à la distance du déplacement effectué. Nous retrouvons alors façilement les formules classiques de l'énergie cinétique. 

Modélisation

On doit pouvoir modéliser la contrainte faite à une structure donnée en simulant une sphère de taille donnée. Un premier calcul peut être alors mené en ayant deux sphères  placées à une certaine distance, et un deuxième portant sur  la contrainte d'une sphère unique d'un volume double doit donner un résultat inférieur.

Maquette expérimentale

On tend un film plastique étirable et élastique sur un cadre rectangulaire en bois. On place une bille suffisamment lourde pour déformer le film, mais on supprime la composante d'énergie potentielle en plaçant sous le cadre une surface plate soulevant légèrement la bille. On positionne une barre de bois soutenant le film et séparant le rectangle en deux carrés égaux. On place deux billes au centre des carrés, puis on enlève délicatement la barre centrale en bois. Seule la tension accumulée dans le film joue alors et cette expérience est le décalque de la réaction de la structure gélifiée qui fait que deux masses distantes dans l'espace se rapprochent l'une l'autre comme Newton l'avait indiqué.



La répartition des contraintes dans la structure gélifiée de l'espace se propage dans des volumes concentriques. Chaque intersection du cône centré donne un cercle représentant la même grandeur de contrainte se répartissant au fur et à mesure que l'on s'éloigne du sommet du cône. La structure répartis donc chaque contrainte sur sa globalité. Aucun événement ne lui échappe. Elle relie toutes les zones de l'Espace, et assure ainsi la continuité événementielle, le tout bien évidement à la vitesse de la lumière, histoire de nous éclairer. ;-)