Les vibrations se propagent comme un ensemble de vagues dans la structure gélifiée. Elles sont absorbées par contact avec la matière. Les oscillations qui se passent par les deux fentes diffractent à leur sortie. Elles se croisent alors dans le volume de la structure, augmentant leur potentiel en s'étalant. Sur la droite de l'image, quand la valeur d'une tache rouge représentant un morcellement de l'onde sortant d'une fente dépasse une quantité d'énergie déterminée, l'interaction avec la matière apparaît, et provoque le phénomène de la vision pour un oeil ou le passage d'un courant électrique dans une cellule photo-électrique.

On ne peut pas prouver l'existence d'une chose inexistante, on n'arrive pas à la trouver tout simplement même en cherchant longtemps. On suppose l'existence d'une réalité physique puisque l'on peut la mesurer. Il y a un témoin, l'expérimentateur qui peut produire un discours qualitatif et quantitatif, et qui secondairement peut écrire un modèle mathématique traduisant le phénomène, le témoignage et le modèle devant conduire à un ensemble représentatif crédible pour ensuite conduire à un ensemble englobant l'explication et proposant une représentation simple et compréhensible par n'importe quel esprit humain.

La lumière n'existe que lorsqu'elle est captée par un appareil conçu pour, oeil ou cellule photo-électrique. Entre la lampe et l'oeil qui observe il n'y a qu'une onde électromagnétique que l'on assimile à une vibration de la structure gélifiée. Les photons n'existent que lorsqu'ils sont en contact avec la matière en étant absorbés et éventuellement émis d'une façon quantifiée due à la matière. Dans l'expérience des fentes de Yung, deux trains d'ondes passants par deux endroits différents créent des interférences, ce qui démontre la nature ondulatoire de la propagation.