Expérience de Michelson-Morley
Il
s’agit de séparer un faisceau de lumière en deux et de faire parcourir
deux chemins différents aux deux faisceaux obtenus avant de les
réfléchir pour les recombiner et de voir si des franges d’interférences
sont produites . L’expérience repose donc sur l’emploi d’un
interféromètre et jusqu’à présent, elle n’a donné aucun résultat. Ce
qui confirmait que la lumière se déplaçait avec une vitesse identique
dans toutes les directions et pour tous les observateurs en mouvement
rectiligne uniforme.
Dans cette hypothèse, on ignore en fait ce qu'est la lumière et quel support elle utilise pour se propager.
Si
on fait l'hypothèse d'un déplacement de la structure gélifiée en toile
de fond, on observe que l'aller-retour se fait bien à la vitesse c pour
le rayon lumineux, sans pouvoir déterminer la vitesse de la structure.
Il est donc impossible par cette expérience de deux trajets identiques
en longueur dans deux directions différentes de déterminer l'existence
et la vitesse relative de la structure gélifiée par rapport au support
matériel.
Dans le cas de
de l'expérience de Michelson et Morley, les deux trains d'ondes se
superposent sans interférer et vont à la même vitesse sur le dernier
parcours entre la lentille centrale et l'oeil. On ne peut donc rien
remarquer de particulier, tout comme on ne constate rien quand on
éclaire la nuit avec une lampe quand on change sa direction.
- Mise en vibration de la structure, la lumière est sous forme ondulatoire
- La
vibration se propage dans la structure ayant un mouvement rectiligne et
rencontre le miroir comme si elle était portée par un courant
- Après
reflexion sur le miroir, une nouvelle vibration part en sens inverse,
toujours à la vitesse c dans la stucture, et comme sur un tapis roulant
fonctionnant en sens inverse doit cheminer plus longtemps.
Il
n'y a pas de vent d'éther, soit, mais un phénomène ondulatoire existe
qui se propage à la vitesse c. En posant à priori la structure gélifiée
de l'espace, invisible et indétectable, nous posons également meublant
la structure suffisamment d'espace pour que la matière s'y abrite, et
qu'il puisse se produire une interaction entre des phénomènes
vibratoires supportés sous deux formes. Le modèle explicatif devient
alors d'une simplicité déroutante, du vide condensé sous deux formes
différentes, la structure gélifiée et la matière permet la création
d'un espace vibrant et donc vivant.
D'après
les théories de la physique moderne, et notamment les
équations de Maxwell, la lumière visible et toutes les
ondes électromagnétiques ont une vitesse constante dans
le vide, la vitesse de la lumière.
On la
considère donc comme une constante physique notée
« c » du latin celeritas, « vitesse
». Elle est constante en tous les lieu et à tous moment de
l'univers quel que soit le repère inertiel de
référence d'un observateur ainsi que la vitesse de
l'objet émettant la lumière, tout observateur obtiendra
la même mesure.
Le lien avec la structure
gélifiée de l'Espace est ainsi facile à
établir, comme la vitesse de la lumière est
corrélé à l'élasticité de la
structure et que cette dernière est constante par
définition car homogène lors de sa création
d'après la mythologie inventée par le narrateur, en tout
lieu de l'Espace, dans un tube gelifère, les vibrations qui se
propagent le font sur un support identique. Comme c'est le seul
paramètre à prendre en ligne de compte,
l'élasticité de la gelée, la vitesse de la
lumière est uniquement corrélée à ce
facteur qui nous est donné comme point de fondement initial dont
tout découle. Il était donc normal que l'homme
expérimentant et mesurant de-ci de-là finisse par trouver
cette valeur et s'interroge sur le pourquoi de cette
invariabilité.
Pour trouver une analogie qui indique
l'indépendance d'un phénomène avec le
système mis en place pour le mesurer, on peut se servir de
l'image suivante. Dans un bateau amarré à un quai, on
peut mesurer la vitesse du courant d'une rivière en mettant dans
le fil du courant un appareil de mesure. La vitesse du courant se
définit par rapport aux rives. Ces dernières servent de
cadre de référence. Si maintenant le bateau se
déplace sur la rivière, la vitesse du courant de cette
dernière ne change pas, même si sur le bateau les
occupants ont l'impression d'aller plus vite dans le sens du courant et
moins vite dans l'autre. La vitesse du courant est indépendante
de la vitesse du bateau.
Mais la vitesse du courant a encore une
existence que l'on identifie rapidement. Une personne assise au bord de
la rivière et jetant une petite brindille à la surface de
l'eau la verra partir emporter par le courant. Elle identifie alors le
mouvement de déplacement de la rivière à une
vitesse.
Mais si le facteur que l'on mesure est d'une autre
nature. Prenons par exemple la mesure de la salinité de l'eau de
mer. Un bateau en pleine mer, qu'il soit à l'arrêt,
dérivant sous le vent, en marche avant ou en marche
arrière, s'il mesure le degré de salinité du
liquide placé sous la coque trouvera une mesure toujours
identique.
De la lumière on tentait de la
définir par un caractère ondulatoire et un
caractère corpusculaire. Avec l'introduction de la structure
gelifère dans le cadre de la représentation, on scinde
l'objet initial en deux, et on différentie le parcours d'un
phénomène ondulatoire dans la structure de son impact sur
la matière. Cela permet de clarifier la situation de l'objet
initial et de ne plus lier un caractère à l'objet mais
à un cadre. Le cadre étant fixé, doté d'une
qualité constante, il est donc normal et logique que cette
qualité apparaisse pour peu qu'on la cherche. L'interaction avec
la matière si elle est quantifiée l'est vraisemblablement
par rapport à cette dernière. En morcelant une
représentation qui posait problème, on sous-traite deux
représentation qu'il s'agit d'accorder l'une à l'autre.
Pour
justifier l'hypothèse de la structure gélifiée de l'espace, une
confirmation expérimentale est à mener. Elle devrait faire appel à un
rayonnement identique, provenant de deux sources lointaines. Le
rayonnement fossile qui est caractéristique du Big Bang s'y prête. En
pointant dans deux directions différentes quelconques de l'espace, et
en redressant par deux miroirs semi-transparents afin qu'ils soient
coaxiaux à leur arrivée dans un objectif de télescope les rayonnements
captés, on pourrait constater une modification des franges
d'interférence lorsque l'on anime l'ensemble d'un mouvement de rotation
centré sur l'objectif du télescope.
On pourrait ainsi définir
le déplacement par rapport à la structure gélifiée de l'espace, qui
lèverait le voile sur l'absence de pertinence sur l'expérience de
Michelson-Morley par une série de mesures en les modélisant.
Il serait alors possible d'amender la vision einsteinienne et de simplifier la représentation de la structure de l'espace-temps.
Mais
dans le schéma proposé, le dernier parcours des rayonnements est
parallèle, donc porté simultanément par la structure à la même vitesse
c. Il faut donc modifier cet aspect pour les faire venir face à face.
Le nouveau schéma expérimental proposé permet de déterminer à l'aide
d'impulsions lasers de même périodicité la variation de leur rencontre.
Un seul brin de grande distance en fibre optique est nécessaire pour
arriver à disposer d'une variation suffisante au point de rencontre.
Pour
déterminer un objet dont on ignore la direction et la vitesse, il faut
faire un ensemble de mesures permettant de le cerner. L'hypothèse
défavorable étant de faire une expérience dans un cas de figure
masquant le phénomène. Il faut donc envisager que la structure puisse
se déplacer par rapport à la terre suivant un axe Nord Sud. En plaçant
les parcours lumineux sur un diamètre de latitude, on n'observerait
rien. Il convient donc de mener une série d'expériences en tenant
compte de cette hypothèse. Ne rien observer ne permet pas de conclure
que le phénomène n'existe pas, on peut s'être placé dans des conditions
défavorables tout simplement.
En
envoyant une série d'impulsions lumineuse espacées par des laps de
temps caractéristiques, telles que l'on puisse à chaque fois identifier
celle arrivant d'un brin et celle arrivant de l'autre, il suffit
d'avoir des horloges précises pour mesurer des durées exactes, sans
avoir une référence par rapport à un temps absolu. On s'affranchit
alors de la question de la simultanéité des événements posant problème
à Einstein. Notre seul objectif est alors de vérifier le décalage entre
deux impulsions envoyées selon une fréquence variable identique. Il
convient de répertorier chaque double envoi et mesurer à l'arrivée le
pic d'intensité lumineux correspondant à son abscisse sur une échelle
graduée. La fibre optique mise en place sur de longues distances dans
des réseaux variés devrait permettre de conduire un grand nombre
d'expériences à peu de frais.
C'est
donc en recherchant par un ensemble d'expériences les conséquences de
l'objet qui se dérobe ( car constituant du cadre ), qu'une
expérimentation habile finira par éclairer la structure qui s'y refuse.
Nous savons que la gravité déforme la structure de l'espace-temps par
le biais de la vision développée par Einstein. Encore faut-il définir
et représenter la structure elle-même, ce qui ouvre du même coup, une
fois éclairée, de nouveaux champs d'investigation à l'esprit humain.
MAURICE
ALLAIS -Prix Nobel d’Economie 1988 a mené une série d'expériences en
analysant ses résultats selon une méthose statistique élaborée, et a
mis en évidence un phénomène inexplicable par cette dernière la théorie
de la relativité générale.:
http://www.flyingkettle.com/allais.htm
http://www.flyingkettle.com/allais/notes1/page1-24.jpg
se traduisant par une périodicité d'environ 25 heures
http://www.flyingkettle.com/allais/notes2/page2-05.jpg
Une
éclipse solaire se traduit par une chute brutale de la luminosité. La
vibration de la structure gélifère de l'espace due au transfert
d'énergie venant du soleil stoppe le temps de l'éclipse. La tension se
relâche, et se traduit alors par une variation singulière de son état,
qui serait semblable à une variation inertielle d'un pendule libre non
contraint par un axe de rotation. La déformation de la structure
gélifiée de l'espace est corrélée avec les vibrations qui s'y
propagent. Face à une variation des interférences matérielles ou des
énergies qui varient dans la structure même, une anisotropie peut être
détectée par le pendule paraconical inventé par Maurice Allais.
Ce
dernier a bien détecté expérimentalement des périodicités de 24 h 50
qui ne peuvent être expliquées par la théorie générale de la
relativité, ainsi que la singularité provoquée par une éclipse solaire :
http://www.flyingkettle.com/allais/eclipses.htm
Si
l'espace temps einsteinien n'était sensible qu'à une variation des
masses, qui le déformerait, nous n'aurions pas ces deux observations
singulières détectées par Maurice Allais.
En choisissant
l'hypothèse de la structure gélifiée de l'espace, comme représentation
traduisant la réalité du cadre de l'Univers, ces deux observations la
corroborent. La rotation de la terre sur elle-même par rapport à la
structure gélifiée de l'espace par une périodicité différente de 24
heures traduit le mouvement cette dernière dans l'espace. La
possibilité d'une vérification expérimentale par un biais inertiel
constitue la seconde vérification expérimentale de l'hypothèse proposée.
Jean-Pierre BECKER
12 avril 2010