Expérience de Michelson-Morley

Il s’agit de séparer un faisceau de lumière en deux et de faire parcourir deux chemins différents aux deux faisceaux obtenus avant de les réfléchir pour les recombiner et de voir si des franges d’interférences sont produites . L’expérience repose donc sur l’emploi d’un interféromètre et jusqu’à présent, elle n’a donné aucun résultat. Ce qui confirmait que la lumière se déplaçait avec une vitesse identique dans toutes les directions et pour tous les observateurs en mouvement rectiligne uniforme.
Dans cette hypothèse, on ignore en fait ce qu'est la lumière et quel support elle utilise pour se propager.

 

Si on fait l'hypothèse d'un déplacement de la structure gélifiée en toile de fond, on observe que l'aller-retour se fait bien à la vitesse c pour le rayon lumineux, sans pouvoir déterminer la vitesse de la structure. Il est donc impossible par cette expérience de deux trajets identiques en longueur dans deux directions différentes de déterminer l'existence et la vitesse relative de la structure gélifiée par rapport au support matériel.

Dans le cas de de l'expérience de Michelson et Morley, les deux trains d'ondes se superposent sans interférer et vont à la même vitesse sur le dernier parcours entre la lentille centrale et l'oeil. On ne peut donc rien remarquer de particulier, tout comme on ne constate rien quand on éclaire la nuit avec une lampe quand on change sa direction.


  1. Mise en vibration de la structure, la lumière est sous forme ondulatoire
  2. La vibration se propage dans la structure ayant un mouvement rectiligne et rencontre le miroir comme si elle était portée par un courant
  3. Après reflexion sur le miroir, une nouvelle vibration part en sens inverse, toujours à la vitesse c dans la stucture, et comme sur un tapis roulant fonctionnant en sens inverse doit cheminer plus longtemps.

Il n'y a pas de vent d'éther, soit, mais un phénomène ondulatoire existe qui se propage à la vitesse c. En posant à priori la structure gélifiée de l'espace, invisible et indétectable, nous posons également meublant la structure suffisamment d'espace pour que la matière s'y abrite, et qu'il puisse se produire une interaction entre des phénomènes vibratoires supportés sous deux formes. Le modèle explicatif devient alors d'une simplicité déroutante, du vide condensé sous deux formes différentes, la structure gélifiée et la matière permet la création d'un espace vibrant et donc vivant.

D'après les théories de la physique moderne, et notamment les équations de Maxwell, la lumière visible et toutes les ondes électromagnétiques ont une vitesse constante dans le vide, la vitesse de la lumière.

On la considère donc comme une constante physique notée « c » du latin celeritas, « vitesse ». Elle est constante en tous les lieu et à tous moment de l'univers quel que soit le repère inertiel de référence d'un observateur ainsi que la vitesse de l'objet émettant la lumière, tout observateur obtiendra la même mesure.

Le lien avec la structure gélifiée de l'Espace est ainsi facile à établir, comme la vitesse de la lumière est corrélé à l'élasticité de la structure et que cette dernière est constante par définition car homogène lors de sa création d'après la mythologie inventée par le narrateur, en tout lieu de l'Espace, dans un tube gelifère, les vibrations qui se propagent le font sur un support identique. Comme c'est le seul paramètre à prendre en ligne de compte, l'élasticité de la gelée, la vitesse de la lumière est uniquement corrélée à ce facteur qui nous est donné comme point de fondement initial dont tout découle. Il était donc normal que l'homme expérimentant et mesurant de-ci de-là finisse par trouver cette valeur et s'interroge sur le pourquoi de cette invariabilité.

Pour trouver une analogie qui indique l'indépendance d'un phénomène avec le système mis en place pour le mesurer, on peut se servir de l'image suivante. Dans un bateau amarré à un quai, on peut mesurer la vitesse du courant d'une rivière en mettant dans le fil du courant un appareil de mesure. La vitesse du courant se définit par rapport aux rives. Ces dernières servent de cadre de référence. Si maintenant le bateau se déplace sur la rivière, la vitesse du courant de cette dernière ne change pas, même si sur le bateau les occupants ont l'impression d'aller plus vite dans le sens du courant et moins vite dans l'autre. La vitesse du courant est indépendante de la vitesse du bateau.

Mais la vitesse du courant a encore une existence que l'on identifie rapidement. Une personne assise au bord de la rivière et jetant une petite brindille à la surface de l'eau la verra partir emporter par le courant. Elle identifie alors le mouvement de déplacement de la rivière à une vitesse.

Mais si le facteur que l'on mesure est d'une autre nature. Prenons par exemple la mesure de la salinité de l'eau de mer. Un bateau en pleine mer, qu'il soit à l'arrêt, dérivant sous le vent, en marche avant ou en marche arrière, s'il mesure le degré de salinité du liquide placé sous la coque trouvera une mesure toujours identique.

De la lumière on tentait de la définir par un caractère ondulatoire et un caractère corpusculaire. Avec l'introduction de la structure gelifère dans le cadre de la représentation, on scinde l'objet initial en deux, et on différentie le parcours d'un phénomène ondulatoire dans la structure de son impact sur la matière. Cela permet de clarifier la situation de l'objet initial et de ne plus lier un caractère à l'objet mais à un cadre. Le cadre étant fixé, doté d'une qualité constante, il est donc normal et logique que cette qualité apparaisse pour peu qu'on la cherche. L'interaction avec la matière si elle est quantifiée l'est vraisemblablement par rapport à cette dernière. En morcelant une représentation qui posait problème, on sous-traite deux représentation qu'il s'agit d'accorder l'une à l'autre.



Pour justifier l'hypothèse de la structure gélifiée de l'espace, une confirmation expérimentale est à mener. Elle devrait faire appel à un rayonnement identique, provenant de deux sources lointaines. Le rayonnement fossile qui est caractéristique du Big Bang s'y prête. En pointant dans deux directions différentes quelconques de l'espace, et en redressant par deux miroirs semi-transparents afin qu'ils soient coaxiaux à leur arrivée dans un objectif de télescope les rayonnements captés, on pourrait constater une modification des franges d'interférence lorsque l'on anime l'ensemble d'un mouvement de rotation centré sur l'objectif du télescope.

On pourrait ainsi définir le déplacement par rapport à la structure gélifiée de l'espace, qui lèverait le voile sur l'absence de pertinence sur l'expérience de Michelson-Morley par une série de mesures en les modélisant.

Il serait alors possible d'amender la vision einsteinienne et de simplifier la représentation de la structure de l'espace-temps.

Mais dans le schéma proposé, le dernier parcours des rayonnements est parallèle, donc porté simultanément par la structure à la même vitesse c. Il faut donc modifier cet aspect pour les faire venir face à face. Le nouveau schéma expérimental proposé permet de déterminer à l'aide d'impulsions lasers de même périodicité la variation de leur rencontre. Un seul brin de grande distance en fibre optique est nécessaire pour arriver à disposer d'une variation suffisante au point de rencontre.



Pour déterminer un objet dont on ignore la direction et la vitesse, il faut faire un ensemble de mesures permettant de le cerner. L'hypothèse défavorable étant de faire une expérience dans un cas de figure masquant le phénomène. Il faut donc envisager que la structure puisse se déplacer par rapport à la terre suivant un axe Nord Sud. En plaçant les parcours lumineux sur un diamètre de latitude, on n'observerait rien. Il convient donc de mener une série d'expériences en tenant compte de cette hypothèse. Ne rien observer ne permet pas de conclure que le phénomène n'existe pas, on peut s'être placé dans des conditions défavorables tout simplement.



En envoyant une série d'impulsions lumineuse espacées par des laps de temps caractéristiques, telles que l'on puisse à chaque fois identifier celle arrivant d'un brin et celle  arrivant de l'autre, il suffit d'avoir des horloges précises pour mesurer des durées exactes, sans avoir une référence par rapport à un temps absolu. On s'affranchit alors de la question de la simultanéité des événements posant problème à Einstein. Notre seul objectif est alors de vérifier le décalage entre deux impulsions envoyées selon une fréquence variable identique. Il convient de répertorier chaque double envoi et mesurer à l'arrivée le pic d'intensité lumineux correspondant à son abscisse sur une échelle graduée. La fibre optique mise en place sur de longues distances dans des réseaux variés devrait permettre de conduire un grand nombre d'expériences à peu de frais.

C'est donc en recherchant par un ensemble d'expériences les conséquences de l'objet qui se dérobe ( car constituant du cadre ), qu'une expérimentation habile finira par éclairer la structure qui s'y refuse. Nous savons que la gravité déforme la structure de l'espace-temps par le biais de la vision développée par Einstein. Encore faut-il définir et représenter la structure elle-même, ce qui ouvre du même coup, une fois éclairée, de nouveaux champs d'investigation à l'esprit humain.

MAURICE ALLAIS -Prix Nobel d’Economie 1988 a mené une série d'expériences en analysant ses résultats selon une méthose statistique élaborée, et a mis en évidence un phénomène inexplicable par cette dernière la théorie de la relativité générale.:

http://www.flyingkettle.com/allais.htm
http://www.flyingkettle.com/allais/notes1/page1-24.jpg

se traduisant par une périodicité d'environ 25 heures

http://www.flyingkettle.com/allais/notes2/page2-05.jpg



Une éclipse solaire se traduit par une chute brutale de la luminosité. La vibration de la structure gélifère de l'espace due au transfert d'énergie venant du soleil stoppe le temps de l'éclipse. La tension se relâche, et se traduit alors par une variation singulière de son état, qui serait semblable à une variation inertielle d'un pendule libre non contraint par un axe de rotation. La déformation de la structure gélifiée de l'espace est corrélée avec les vibrations qui s'y propagent. Face à une variation des interférences matérielles ou des énergies qui varient dans la structure même, une anisotropie peut être détectée par le pendule paraconical inventé par Maurice Allais.

Ce dernier a bien détecté expérimentalement des périodicités de 24 h 50 qui ne peuvent être expliquées par la théorie générale de la relativité, ainsi que la singularité provoquée par une éclipse solaire :

http://www.flyingkettle.com/allais/eclipses.htm


Si l'espace temps einsteinien n'était sensible qu'à une variation des masses, qui le déformerait, nous n'aurions pas ces deux observations singulières détectées par Maurice Allais.

En choisissant l'hypothèse de la structure gélifiée de l'espace, comme représentation traduisant la réalité du cadre de l'Univers, ces deux observations la corroborent. La rotation de la terre sur elle-même par rapport à la structure gélifiée de l'espace par une périodicité différente de 24 heures traduit le mouvement cette dernière dans l'espace. La possibilité d'une vérification expérimentale par un biais inertiel constitue la seconde vérification expérimentale de l'hypothèse proposée.

Jean-Pierre BECKER
12 avril 2010